bonjour je suis le fils de papa lada thomas je m'appelle serge

bonjour je suis le fils de papa lada thomas je m'appelle serge

Salut,<br /> Merci encore à ceux là qui ont bien voulu laisser un mot dans ces échanges.La manière que nous intervenons même dans ce site illustre bien la vitesse avec laquelle nous voulons intervenir. Pour moi, il ne suffit pas simplement d'une question d'aller nous produire dans un certain rassemblement (bien que je ne sois pas radicalement contre), il s'agit à travers l'ACPO ou même dans notre vie de tout le jour nous reconnaitre à travers cette culture et de pouvoir la porter pour qu'elle soit actuelle et vivante. On peut déplorer notre lenteur, mais cela ne se situe pas forcement an niveau de la culture mais de la prise de conscience et de l'organisation à mettre en place pour promouvoir tout ce dont il est question. Il me semble que l'urgence se situe au niveau de la motivation, de la prise de conscience et bien sûr de persévérance, tout ceci soutenu par une vraie volonté, un souci d'unité, et un effort de dépassement de certains présupposés et consort. Moi j'y crois toujours, et il me semble aussi que la vraie impulsion ne viendra d'abord que de la part des étudiants podokos, et ensuite les autre pourront suivre. Mais si ces derniers ne se sentent pas concernés, la lenteur dont il est question plus haut aura encore beaucoup de chemin à faire. J'appelle et j'encourage tous les étudiants podoko de NGOA, de SOA, de NGOUNDERE et peut-être dans bientôt de MAROUA à retrousser les manches en lançant le vrai débat de la cause podoko, ceci en posant le vraies questions qui s'imposent et bien sûr en tentant d'y apporter des solutions.<br /> COurage à tous<br /> MAYA Tsouma

Monsieur Happy!<br /> je veux juste vous rapeller que la culture est une identité et l'on preferera de ne pas la qualifier de lente...à une occasion.Lors d'une fete, il s'agit plus d'une question d'organisation.Notre association ne se confronte ni s'oppose à aucune autre mais elle ne saurait se confondre à une autre.Quand je dis "TAW NDI NA?"par exemple il n'ya que ceux qui entendent la langue Parekwa pour me comprendre.<br /> Nous espérons que l'ACPo contribuera à la promotion et à la pérennisation de cette culture.Merci de participer à ce débat constructif.

Moi je dirais en tant que vos petit frere que la culture PODOKO est lent. Si je ne me trompe pas lors d'une fete chez un haut responsable de notre arrondissement SE le vice premier ministre Amadou Ali,les ressortissants PODOKO etais solliciter.Donc le terme marginalisation vient de nous meme.Mais il faut qu'on soit decisif dans nos association;Ne perdons pas notre valeur dans ce pays;Nous avons une place preocupente.<br /> Keslaksa Mahama